L’importance des écoles de journalisme renommées pour exercer dans ce métier

Dans le monde du journalisme, on a pu remarquer que les écoles qui forment les étudiants dans ce métier sont divisées en deux. Il y a les écoles qui sont reconnues par les professionnels du journalisme et celles qui ne le sont pas. Il est donc normal que les étudiants qui veulent se spécialiser dans cette profession hésitent sur leur choix d’école, car cela pourrait avoir de l’influence sur leur future carrière. Voici alors quelques informations sur ces écoles, permettant de faciliter ce choix.

L’insertion professionnelle des étudiants issus d’écoles renommées

En France, il existe 14 écoles de journalisme qui sont reconnues par les journalistes professionnels. L’admission dans ces universités est assez difficile, car ils sont réputés pour leur sélection minutieuse. Cependant, une fois les études terminées, il est beaucoup plus aisé pour ces journalistes en herbe de trouver du travail, comparé à ceux qui sortent d’une école non reconnue.
Selon les statistiques relevées, on a pu observer que les étudiants sortant de ces écoles sont tous placés à des postes intéressants dans l’année qui suit l’obtention de leur diplôme. Cela est surtout possible grâce au partenariat de ces établissements avec différents médias. De plus, certains recruteurs jugeront la formation par laquelle les postulants sont passés avant de les accepter dans leur organisation.

De meilleures chances pour obtenir des postes intéressants

Toujours selon les statistiques relevées auprès de plusieurs entreprises de journalisme, on a pu constater que les étudiants ayant bénéficié d’une formation auprès d’une école renommée ont plus de chances d’avoir des postes intéressants. Que ce soit en tant que secrétaire de rédaction ou de rédacteur tout court, les diplômés d’école reconnue sont assez privilégiés.
Cependant, il faudra noter que les chances restent quand même plus ou moins égales pour tous les diplômés de journalisme. Et d’ailleurs, les postes ayant le plus de responsabilités tels que les chefs de rubrique ou de service, et les rédacteurs en chef ne prennent pas en compte la formation par laquelle les journalistes sont issus.

Comments

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *